Censure : base de la stratégie fasciste

Les fascistes ne répondent pas aux arguments : ils mentent et ils censurent ; ils jouent les victimes alors qu'ils sont les bourreaux ; ils font taire toutes les voix dissidentes partout et les remplacent par de faux opposants qui dénoncent  le nouvel ordre mondial, alors que l'ordre nouveau c'est eux. La plupart des pays de la planète sont dirigés par des fascistes ou des profascistes, et ces gens, hégémoniques, osent se présenter comme des rebelles, alors qu'en réalité leur seule critique du système consiste à lui reprocher d'être encore trop démocratique.

Sur les réseaux sociaux et les forums, dans les médias publics et privés, ils censurent, ils "signalent", ils excluent, pour ensuite décrire une réalité parallèle, où tout irait pour le mieux dans le meilleur des mondes, si les terroristes islamistes (qu'ils dirigent eux-mêmes) ne venaient pas commettre périodiquement des attentats.

Toute la réalité de la surveillance du Mind Control est impitoyablement occultée. Selon les médias, la surveillance satellitaire n'existe pas ; la torture électromagnétique non plus. Partout sur les réseaux sociaux, les fascistes, très bien introduits, tentent de faire taire les voix de la vérité. Ils ne répondent jamais à des arguments ; ils censurent, répriment, torturent leur contradicteurs utilisant pour cela des armements militaires électromagnétiques qui ne devraient être utilisé qu'en temps de guerre.

Les nationalistes sont des escrocs ; leurs révélations sont des leurres destinés à cacher l'horrible réalité de la répression satellitaire, qui permet aux tortionnaires fascistes de prendre le pouvoir partout dans le monde. Si la vérité sur les agissements criminels des néo-fascistes du Mind Control n'est pas révélée au grand public, celui-ci ne sera jamais en mesure de prendre conscience du péril totalitaire qui le menace.

Si les fascistes prennent le pouvoir, la torture satellitaire sera systématique et extrême. La moindre des choses serait d'informer les électeurs de ce fait.